L'Empereur dans la vallée du Geer : les armées de 1813 après la bataille de Leipzig.
Compte rendu des combats (récits imaginaires):
16 novembre : le 2e dragons, déployé en tirailleur sur l’aile gauche de notre armée, défendit âprement sa position et assura la protection de l’artillerie à pied. Dès que l’assaillant se porta à portée de tir de nos canons, il fut tout aussitôt criblé de mitraille et forcé de reculer. C’est alors que nous partîmes à la charge pour reprendre le terrain perdu. L’ennemi recula et à la tombée du jour, il profita de l’obscurité pour occuper l’église de Bassenge. Fin des premiers combats, la nuit fut fraîche mais la population accueillante pour nos troupes.
17 novembre : Dans l’après-midi nous fûmes attaqués avec fureur sur notre front par le 95th Rifles. Abrité par les canons, nous attendîmes de pied ferme les attaques de l’ennemi. Chaque fois qu’il voulut forcer nos lignes, nous le couvrions de nos feux et puis nous nous jetions sur lui à la baïonnette. Alors l’ennemi reforma ses colonnes et se jetant tête baissée sur notre droite, il nous repoussa jusqu’au dernier pont sur le Geer. Contraint de quitter les combats pour assurer la protection du Maréchal Masséna, le 2e dragons se replia en bon ordre.
16 novembre : le 2e dragons, déployé en tirailleur sur l’aile gauche de notre armée, défendit âprement sa position et assura la protection de l’artillerie à pied. Dès que l’assaillant se porta à portée de tir de nos canons, il fut tout aussitôt criblé de mitraille et forcé de reculer. C’est alors que nous partîmes à la charge pour reprendre le terrain perdu. L’ennemi recula et à la tombée du jour, il profita de l’obscurité pour occuper l’église de Bassenge. Fin des premiers combats, la nuit fut fraîche mais la population accueillante pour nos troupes.
17 novembre : Dans l’après-midi nous fûmes attaqués avec fureur sur notre front par le 95th Rifles. Abrité par les canons, nous attendîmes de pied ferme les attaques de l’ennemi. Chaque fois qu’il voulut forcer nos lignes, nous le couvrions de nos feux et puis nous nous jetions sur lui à la baïonnette. Alors l’ennemi reforma ses colonnes et se jetant tête baissée sur notre droite, il nous repoussa jusqu’au dernier pont sur le Geer. Contraint de quitter les combats pour assurer la protection du Maréchal Masséna, le 2e dragons se replia en bon ordre.
Les combats
Ecole du cavalier à pied
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